• Il y a plus d'un mois que je n'ai pas écrit. Et pour cause, j'ai été hospitalisé à la suite d'un grave accident qui n'a couté, heureusement, la vie de personne. On roulait avec mes potes, on était bien, heureux puisqu'on allait aller fêter un grand anniversaire. Personne n'avait bu, ni fumé. Moi j'étais bien parce que je me suis dis que j'allais rencontrer de nouvelles personnes. Mais très vite, une voiture nous a violemment percuter et la voiture s'est embalé, à rouler sur le côté et à fait quelques tonneaux. J'ai perdu connaissance. Je me suis réveillé, j'étais sur une civière, j'entendais la sirère de l'ambulance, j'entendais aussi des gens criaient dans la panique. J'étais choqué, donc je ne comprenais pas vraiment ce qui se passait. J'avais mal partout, surtout au niveau du visage et de mes deux jambes. Je ne pouvais plus bouger ! On est allé à l'hôpital, j'ai repris mes esprits sauf que mon état inquiétait les mèdecins. J'avais les deux jambes cassaient mais comme je ne parlais pas, ils s'inquiétaient. J'avais des nausées et très mal à la tête et au cou. J'avais des contusions sur tous le corps et mes jambes me faisaient mal. Le médecin, certain que j'avais une fracture grâve du crâne a voulu me garder. J'ai passé des examens, et on m'a plâtré les deux jambes cassées (je n'ai pas fait semblant !) Mes deux autres amis étaient à côté, l'un pour des côtes cassées, l'autre pour de simples examens. Ma mère était près de moi et j'ai repris mes esprits le lendemain matin. J'avais pas vraiment de souvenirs de l'accident alors on m'a raconté. Mon père et mon frère sont venus me voir et me donnait du courage. Je ne me sentais pas bien, surtout que j'étais obligé de rester allongé, les pieds à l'air. Je suis resté trois nuits à l'hôpital car il voulait être sûr que tout allait bien. Après de multiples examens, je suis partie dans une maison de convalescence car je ne pouvais rien faire avec mes deux jambes. Peu à peu, on m'a autorisé à prendre le fauteuil roulant et j'ai pu faire des activités avec les autres personnes (beaucoup de vieux !) Mais le moral était bas car je me sentais seul et que je voulais rentrer chez moi. Ma mère travaillant toute la journée, les docteurs disaient que je n'allais pas suivre les instructions et que je me ferais mal. Au bout de deux semaines, je suis rentré chez moi et l'infirmière venait me faire les piqures tous les jours. C'était une horreur, car je ne pouvais rien faire. Imaginez de ne pas pouvoir poser les pieds pour aller aux toilettes...bref... C'était les vacances alors mes potes venaient me voir mais vivant loin, c'était rare. Moi qui devait conduire encore 1 000 km pour ma conduite accompagnée et passer le permis. Je suis écoeuré ! On vient de m'ôter les deux platres mais c'est gonflé, j'ai trop mal, j'ai encore le fauteuil roulant et dans deux semaines, on m'a dit que je pourrais prendre les béquilles. J'en ai marre mais je garde la tête haute car, bien sûr, on aurait pu mourir vu l'impact de l'accident... Merci Mon Dieu !

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